Travaux d’entretiens routiers par ACPDI

Le réseau routier attribué à ACPDI comprend une série de corridors agricoles et commerciaux stratégiques. C’est par exemple, l’axe Kipese-Mubana-Kisaka Lac qui relie, le territoire de Lubero aux Lac Edouard et n’ont que 65Km de long. Ensuite les axes Masereka-Kipese et Katondi-Kipese, de 34 Km s’ajoute au aux axes routiers qui sont en charge de ACPDI depuis 2020. Moins de 40 % des populations riveraines de ces routes vivent à moins de deux kilomètres d’une route praticable en toutes saisons (route nationale. L’isolement physique des zones rurales freinent le développement des activités agricoles. L’isolement physique des zones rurales freinent le développement des activités agricoles. C’est pourquoi, l’ON ACPDI ne ménage aucun effort pour rentre praticable les routes sous sa charge.
Cet article est produit dans l’objectif de présenter les activités réalisées au mois de mars dernier. Spécifiquement nous voulons monter à travers ces quelques lignes, l’état d’avancement des travaux d’entretien des routes sous attribution de ACPDI, les difficultés rencontrées, la planification et la situation des dépenses et recettes sur les trois axes attribués à ACPDI.
Le mois de mars a été couvert entièrement par des travaux de maintenance sur l’ensemble des axes. Les activités de cantonnage ont durée 20 ouvrables. Les travaux qui ont prévalus ce mois sont le suivant : désherbage des bords, l’évacuation des éboulis, le drainage et reprofilage de la chaussée, curage des saignées, réparation des caniveaux, le rechargement des quelques bourbiers était effectué sur l’axe Katondi-Kipese etc. ces travaux sont localisés sur les trois axes mais la concentration étaient autours des village Katambi, Katamiri, Kitaki et Mubana, axe Kipese-Mubana ; puis Kahuna, Virenge, Vuhami et Kalangira, axe Masereka-Kipese enfin, Katondi, Vusigha, Kasima et Kivinduliro, axe Katondi-Kipese.

Cependant, l’insécurité dans la zone est à la base de déperdition des moyens alloués à l’entretien des routes, cette situation est amplifiée par une absence remarquable de l’autorité de l’état surtout dans les entités rurales de Mubana et Masereka.  Ensuite le délabrement continuel du pont jeté sur la rivière Talihya, axe Kipese-Mubana demeure une menace permanant et un danger pouvant éventuellement boqué la circulation si rien n’est fait. Une lettre de rappel a été rédigée puis envoyé chez l’AT du territoire de Lubero le mois de mars dernier en mettant en copie toutes les autorités de tutelles.